F1: Sainz assure que les luttes acharnées avec Leclerc sont loin d’être finies : « Ce n’était pas la première et ce ne sera pas la dernière »

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    <h2>Carlos Sainz déclare que le GP d'Espagne ne sera pas leur dernière « lutte serrée »</h2>
    <p><span style="font-weight: 400;">Carlos Sainz affirme que le GP d'Espagne ne sera pas la dernière fois que lui et son coéquipier, Charles Leclerc, auront une « lutte serrée ». </span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">La lutte serrée à laquelle Sainz fait référence est celle qu'il a eue avec Leclerc pendant la course en Espagne. Dès les premiers tours, l'espagnol a tenté une manœuvre sur le monégasque et les deux se sont touchés. Tandis que le premier déclarait à la radio que son coéquipier l'"avait poussé hors de la piste", le second commentait que Sainz ne lui avait "pas laissé d'espace".</span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">Après la course, où les pilotes ont terminé en P5 et P6, les deux ont échangé plus de scintilles. S'adressant aux médias avant le GP d'Autriche, qui aura lieu ce week-end, Sainz a regreté que leurs discussions soient devenues si publiques, qualifiant cela de "plus grosse erreur".</span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">"Avec Charles, évidemment ce n'est pas la première fois que nous avons une lutte serrée et cela ne sera pas la dernière. Nous avons toujours une ou deux luttes serrées par an, car c'est complètement normal, c'est complètement naturel quand deux pilotes partagent le même morceau d'asphalte pour 24 courses", a-t-il déclaré.</span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">"Nous commençons toujours P1 et P2, P2 et P1, P4 et P5, P5 et P6. Il y a des départs, stratégies, dépassements. Et avec deux gars aussi compétitifs que lui et moi, qui, heureusement pour l'équipe, partagent le même morceau d'asphalte à chaque course, il y aura toujours des petites luttes serrées. Ces petites luttes serrées seront toujours là. De toute évidence, vous voulez les minimiser. Et l'important est qu'après quatre ans avec Charles, la relation a toujours été bonne".</span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">"Nous avons toujours résolu ces petites luttes serrées par nous-mêmes, sans l'aide des chefs d'équipe, toujours en discutant entre nous. Parfois, je préfèrerais garder cela loin des médias car cela n'aide aucun de nous. C'était probablement la plus grosse erreur, mais, à part cela, nous faisons de notre mieux."</span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">Le pilote espagnol a également affirmé qu'il n'avait pas enfreint les ordres de l'équipe lorsqu'il a tenté de dépasser Leclerc, soulignant que, lorsqu'il a été requis, il a laissé passer son coéquipier.</span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">"Évidemment, si j'ai tenté le dépassement, c'est parce que je crois qu'il n'y avait pas d'accord. S'il y avait eu une consigne de l'équipe, j'aurais été le premier à la suivre. Et vous avez vu pendant la course – il y avait une consigne de l'équipe pour le laisser passer et immédiatement je l'ai laissé passer, donc quand il y a une consigne de l'équipe, je la suis. J'ai toujours été le même. Et j'ai été super pragmatique et super obéissant avec cette équipe. Durant mes quatre années ici, j'ai suivi toutes les consignes de l'équipe qui m'ont été données."</span></p>
    <p><span style="font-weight: 400;">"Et si j'ai tenté le dépassement, c'est évidemment parce que je croyais – et je savais – qu'il n'y avait pas de consigne de l'équipe pour maintenir la position. Et alors nous pouvons nous asseoir et discuter si c'était le bon coup ou non, mais, au-delà de cela, je ne commenterai rien de plus."</span></p>

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        <h2>Notre avis</h2>
        <p>Dans le monde ultra-compétitif de la Formule 1, la ligne entre la compétition interne et la collaboration au sein d'une équipe est souvent aussi fine que représentative des enjeux. Les récents événements entre Carlos Sainz et Charles Leclerc nous rappellent que, même au sein d'une équipe, la lutte pour la suprématie peut aboutir à des tensions palpables. Cependant, la capacité de Sainz et Leclerc à résoudre leurs différences sans intervention extérieure souligne une maturité et une compréhension professionnelle qui méritent d'être reconnues. La gestion de ces "luttes serrées" – loin des feux de la rampe médiatique autant que possible – restera un aspect crucial de leur relation en tant que coéquipiers. En final, l'harmonie au sein d'une équipe de F1 impacte non seulement les pilotes directement impliqués mais forge aussi le chemin vers le succès de toute l'équipe.</p>
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